RésistanceS 07-02-2009

 

Sorti à la fin du mois de janvier 2009, le film américain Walkyrie, avec Tom Cruise, retrace le coup d'Etat raté contre Hitler, en juillet 1944, organisé par des hauts officiers de l'armée allemande. Ceux-ci avaient pour objectif de démontrer que tous les habitants de l'Allemagne de l'époque n’étaient pas des nazis. Mais la résistance antinazie était déjà bien active avant ce retournement de veste militaire de la dernière heure : elle avait commencé dans les années 1920...

La résistance antinazie allemande


La résistance oubliée


Le souvenir et l'analyse de la Deuxième Guerre mondiale sont toujours présents de nos jours. Des pans entiers de ses épisodes doivent cependant encore être radioscopés. De nouvelles études entamées ou corrigées. Des occultations déverrouillées. C'est le cas de la résistance des communistes en Allemagne, trop souvent «oubliée» par l'historiographie officielle. Un livre écrit par le Belge T. Derbent tente de faire sauter le couvercle de cette véritable négation.


Cet article est paru dans le mensuel belge Le Journal du Mardi du mois de juin 2008.


Au cours des différents moments où l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale est évoquée - dans les cours scolaires, dans les ouvrages, films et documentaires télévisés – certaines parties, certes importantes et essentielles, en sont systématiquement rappelées. D'autres sont rapidement relatées. Certaines ne sont même carrément jamais citées, ou alors seulement entre les lignes. Pour quelles raisons ? Elles sont variées. Il y a tout d'abord un manque évident d'information et de documentation. C'est la raison objective à cet état de fait. Il y a aussi des raisons plus politiques, idéologiques et stratégiques.

La fin de la guerre 39-45 annonce un nouveau conflit, la guerre froide, entre l'Ouest et l'Est. Entre le monde capitaliste et le Bloc soviétique. Cette division manichéenne de la planète - de 1945 à 1991 – «propagandisera» les histoires officielles de la dernière guerre mondiale. La propagande «racontera» de part et d'autre le terrible conflit à sa façon. En URSS, le pacte germano-soviétique (conclu en août 1939) sera rapidement jeté dans les oubliettes de l’Histoire. En Europe de l'Ouest, les motifs officiels de l'entrée en guerre des Etats-Unis (après l'attaque japonaise de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941) seront pour leur part travestis. Le mythe du soldat américain venant libérer l'Europe du nazisme devrait désormais disparaître.

Classe ouvrière divisée
La résistance française, belge ou hollandaise contre l'occupant allemand a également une place importante dans les récits se rapportant au Second Conflit mondial. L'image du peuple allemand sous le joug du nazisme reste quant à elle alimentée par un fort stéréotype, qui tend à accréditer l’idée que tous les Allemands se seraient rangés comme un seul homme derrière leur Führer, Adolf Hitler. Or, faut-il le rappeler, le NSDAP, le parti nazi, est arrivé au pouvoir en janvier 1933 avec 33 %, non avec 99 %. Son accession fut donc possible, non pas par la volonté majoritaire des électeurs, mais grâce à une coalition post-électorale conclue avec divers partis de la droite conservatrice. Ensuite, le NSDAP instaura, en quelques mois, un système dictatorial absolu. La répression ciblera directement ceux qui pouvaient constituer une réelle opposition : les syndicats et les partis de la classe ouvrière, le KPD (communiste) et le SPD (social-démocrate).

Avant la prise du pouvoir par les nazis, KPD et SPD avaient agi contre ceux-ci en ordre totalement dispersé, voire même l'un contre l'autre. À l’époque, les communistes allemands ne considéraient en effet pas le NSDAP comme l'ennemi numéro un du prolétariat, mais bien plutôt les «sociaux-traites» du SPD. Ce dernier, quant à lui, gardait en mémoire la guerre civile de 1919 où les marxistes avaient dominé le combat à la tête des révolutionnaires. Une peur (rouge !) contaminait les sociaux-démocrates : la perte de leur leadership, de leur contrôle sur les ouvriers et leur «communisation» possible sous l'influence du parti communiste. C'est pour cela que le SPD refusera par exemple, contrairement au KPD, d'armer les travailleurs contre les «bandes nazies». Pendant que le mouvement ouvrier se divisait dans des luttes intestines, Adolf Hitler s'emparait petit à petit du pouvoir. L'atomisation de l'opposition de la gauche allemande fut du pain béni pour les partisans de l'Ordre nouveau et leurs alliés.

Les premiers volontaires allemands de la Centurie (colonne) «Thaelmann», en été 1936 en Espagne. Au total plus de 5.000 antifascistes allemands combattirent dans les Brigades internationales durant la guerre civile espagnole - Archives T. Derbent.

 


Résistance sur tous les fronts
Malgré les erreurs de stratégie antinazie des années 1920-1930, après janvier 1933, le KPD, victime de la répression, se lança dans une importante lutte clandestine contre le nouveau régime. C'est ce combat à l'intérieur même des frontières du IIIe Reich que relate dans son livre, «La résistance communiste allemande 1933-1945», T. Derbent (sur ce dernier, voir notre encadré qui lui est consacré). Publié aux éditions bruxelloises Aden (www.aden.be), ce livre est un véritable puzzle rassemblant différentes sources historiques éparses, connues, déjà exploitées ou inédites que l'auteur a pu réunir pour présenter une version complète et plus référée de cette résistance exceptionnelle et exemplaire. Jusqu'ici oubliée, occultée ou maquillée par les versions officielles de l'Histoire allemande. De plus, les milliers d'Allemands antinazis qui s'engagèrent dans le combat contre Hitler le firent sur tous les fronts : dans les rues de Berlin et des autres villes allemandes, dans leurs entreprises, dans leurs administrations, mais également, durant la guerre civile espagnole, dans les Brigades internationales, dans les rangs de la résistance en France et en Belgique, dans ceux des Partisans en Europe de l'Est et même au sein de l'Armée rouge soviétique.


Ce livre est constitué de nombreuses données essentielles – et également de nombreuses photographies inédites - permettant de prendre enfin connaissance de l'ampleur et de l'efficacité de l'opposition politique et armée que structura le KPD durant la dictature hitlérienne. Sans doute, des reproches pourront être adressés à cet ouvrage. Mettant en avant la seule résistance des communistes officiels, il oublie notamment d'évoquer celle des «autres communistes», entre autres des marxistes anti-staliniens. La «corporation» des historiens diplômés diront encore que l'auteur n'est pas un des leur. Ce qui est vrai. Cependant, son travail s'est basé sur la consultation d'archives certifiées. Certes, la rigueur de la méthodologie exacte en recherche historique peut sembler fragilisée ; il n'empêche que ce livre devrait ouvrir le débat sur son sujet d'étude et permettre l'exploitation des fonds documentaires existants de façon plus approfondie et moins idéologiquement correcte.

Manuel Abramowicz

«La résistance communiste allemande 1933-1945»
T. Derbent, éditions Aden, Bruxelles, 2008, 115 pages, 10 euros.

 

T. Derbent et Carl von Clausewitz

Spécialiste de Carl von Clausewitz, T. Derbent est déjà l'auteur de deux autres livres - «Giap et Clausewitz» et «Clausewitz et la guerre populaire»), également publiés chez le même éditeur (Aden), sur cet officier et théoricien militaire prussien. Carl Von Clausewitz (1780-1831) reste de nos jours encore «La» référence de base en matière de philosophie et de stratégie de la guerre de la plupart des académies militaires de par le monde.

 

 


Interview


Au coeur de la résistance allemande...


Pour mieux comprendre cette «résistance oubliée» de manière volontaire par l'histoire officielle, nous nous sommes entretenus avec T. Derbent. Ne cachant pas son appartenance au mouvement communiste, celui-ci a basé son travail de recherche historique sur des documents inédits. Ainsi, son ouvrage sur la résistance des marxistes-léninistes sous la dictature nazie, entre 1933 et 1945, constitue une nouvelle référence permettant de démontrer que tous les Allemands n'étaient pas convertis au nazisme ou dominés par lui. Interview sur un sujet «idéologiquement incorrect».



Partisans autrichiens antinazis en 1945 dans les montagnes du Tyrol. Photographie publiée dans le magazine «Images de Vérités sur l'Occupation», Paris. Date : 1945 (estimation) – Archives Manuel Abramowicz


Selon vous, la résistance communiste aurait été la résistance allemande la plus large, la plus puissante et la plus efficace contre la dictature nazie.
Sans aucun doute. Les autres résistances n’ont pu, au mieux, que faire de la propagande et cacher des proscrits, et cela dans le cadre de petits cercles de proches. La résistance organisée par le parti communiste allemand (KPD) a organisé en grand le sabotage de l’économie de guerre. Des dockers communistes ont ainsi miné et coulé des dizaines de navires ! Cette résistance a donné à la propagande antifasciste une ampleur inouïe : en 1936, par exemple, la Gestapo, la police politique du régime nazi, a saisi plus d'un million et demi de journaux, tracts et brochures communistes. Et il ne s’agissait que du matériel saisi. Le matériel produit était plus important encore ! Le KPD a assuré l’évasion et l’exfiltration des antifascistes recherchés, ses militants ont combattu par milliers dans les maquis des pays occupés, ses clandestins ont fourni des informations stratégiques inestimables aux services de renseignements soviétiques, ses déportés ont organisé et, dans le cas du camp de concentration de Buchenwald, réussi un soulèvement armé, etc.


Plusieurs ouvrages et séminaires universitaires se sont penchés sur la résistance antinazie allemande. Pourquoi avoir axé votre recherche sur la résistance communiste, pour laquelle vous ne cachez pas votre admiration?

C’est une sorte d’accident ! C’est en rassemblant des matériaux pour un autre sujet - l’influence du théoricien militaire prussien Carl von Clausewitz sur la direction de l’appareil militaire clandestin du KPD - que j’ai découvert, à Zürich, un centre de recherche qui détenait des documents inédits sur cette résistance. J’ai été frappé par l’écart entre l’importance de cette résistance et son absence, voire sa négation, dans l’historiographie occidentale. D’innombrables livres, articles et films ont par exemple été consacrés à la poignée d’étudiants catholiques composant la «Rose blanche», mais les dizaines de milliers de communistes qui ont résisté, le plus souvent au prix d’une mort atroce, ont été rayés des tablettes de l’histoire. Ils ont été sacrifiés, hier à la propagande anti-communiste de la guerre froide, aujourd’hui à la thèse fétiche de l’idéologie dominante : «communisme = fascisme». Pour ce faire, les auteurs francophones n’ont eu qu’à resservir la production d’un corps universitaire ouest-allemand composé, dans son immense majorité, des seconds couteaux de l’université nazie.

La résistance communiste allemande aurait donc été un sujet tabou en Europe de l'Ouest. Mais vous vous référez à des sources est-allemandes. Celles-ci pourraient tout aussi bien être remises en cause, considérées comme «idéologiquement marquées».
J’ai recoupé ces sources, tant que faire se pouvait, avec l’historiographie occidentale, et elles ne se sont jamais révélées douteuses. Les sources des travaux est-allemands ne posent pas de vrai problème. Il s’agit de sources directes. Au début des années 1960, l’URSS a remis à la RDA l’essentiel des archives saisies par l’Armée rouge lors de la prise de Berlin en 1945. Ces archives sont très riches : rapports de la Gestapo, dossiers des tribunaux d’exception nazis...

Ce qui est parfois problématique, ce sont les travaux que les historiens est-allemands ont réalisés sur base de ces sources. Ils voulaient démontrer que le KPD a continué à fonctionner comme un parti clandestin directement dirigé par son comité central. Or ce n’est que partiellement vrai : de nombreuses cellules se sont reconstituées sans lien avec l’appareil du parti, ni a fortiori avec le comité central en exil. Or, si la résistance communiste allemande est très diversifiée dans ses formes d’action, elle est remarquablement cohérente au point de vue politique. Le fonctionnement léniniste-staliniste du KPD a fait que les cellules coupées du parti n’ont pas essayé de développer leur propre ligne politique et stratégique, mais se sont employées à appliquer la ligne du parti. Cela a induit un manque de souplesse mais a permis au mouvement communiste de traverser cette terrible épreuve en gardant sa cohérence.

Les historiens est-allemands se font aussi trop discrets sur les «luttes de ligne» apparues dans le parti. On sait que les militants trouvaient parfois inadaptés le matériel et les directives envoyés dans le Reich par l’appareil en exil du KPD, parce que basés sur la conviction que le régime nazi allait vite s’effondrer sous le poids du mécontentement populaire. Cette contradiction a été largement traitée - et parfois exagérée - par des anti-stalinistes militants, qu’ils soient historiens, tel Pierre Broué dans son histoire du Komintern, ou romanciers, comme Arthur Koestler dans son ouvrage «Le Zéro et l’infini». On sait moins que le passage de la ligne «classe contre classe» à la ligne «front populaire» ne s’est pas faite sans réticence, tant était grande la rancœur des militants communistes envers les sociaux-démocrates qui avaient totalement capitulé devant le coup le force hitlérien. Mais il ne faut pas surestimer ces contradictions. La note dominante reste la remarquable cohérence de cette résistance.



Officier allemand de l'Armée rouge sur le Front de l'Est appelant ses compatriotes soldats à la désertion et à la révolte contre les nazis – Photo : Archives T. Derbent.

Le KPD, après l'arrivée des nazis au pouvoir, en janvier 1933, va envoyer des cadres du parti infiltrer divers organismes étatiques. L'«infiltration communiste» était-elle réelle ou certains de ces «espions» étaient-ils en définitive des transfuges, adhérant alors par conviction au nazisme ? Le KPD a-t-il mesuré ce risque ?
Il y a eu deux types d’infiltration. Le KPD a été un moment tenté par l’infiltration «en masse» d’organes de base du nouveau régime pour les subvertir. Il s’agissait par exemple, puisque les syndicats étaient interdits, de s’affilier et de se montrer actif dans le Front du Travail, l'organisation professionnelle unique mise en place par les nazis, pour y mener un travail crypto syndical. Cette tactique dite du «cheval de Troie» était justifiée d’un point de vue doctrinal en évoquant les consignes de Lénine sur l’utilisation des syndicats tsaristes. Mais cette tactique - qui n’avait pas été adoptée sans discussion - échoua en raison de la répression et fut rapidement abandonnée.

Je n’ai pas trouvé pour le second type d’infiltration, celui que vous évoquez, de document relatif à une «analyse de risque» ou traitant de pseudo infiltrations qui se seraient révélées de véritables ralliements. Par contre, j’ai trouvé plusieurs exemples du travail remarquable effectué par ces faux transfuges. Ainsi, Horst Heilmann, qui avait su s’infiltrer jusque dans le service de décryptage des services de renseignements nazis, et qui communiquait à l’Etat-major soviétique des informations cruciales.

Pour en finir avec la question des ralliements, on sait que sur les 422 dirigeants principaux du KPD, un seul a renoncé à la lutte et accepté un poste dans le nouveau régime. Et encore, cela s’est passé après son exclusion du KPD pour, selon la formule consacrée à l’époque, «lâcheté devant l’ennemi de classe». Il faut comparer cela aux très nombreuses adhésions des politiciens de droite, du centre et de la social-démocratie à l’«ordre nouveau» hitlérien. Par là aussi, on voit qui était réellement proche du fascisme, et qui en était l’irréductible ennemi.

Avez-vous d'autres projets d'étude ?
Mon vrai sujet de recherche est l’influence des théories de Clausewitz sur les stratégies révolutionnaires d’Engels à Giap (NDLR : général vietnamien lors de la guerre de libération de l'Indochine, vainqueur en 1954 de la bataille de Di?n Biên Ph? sur les troupes coloniales françaises) en passant par Lénine. Je m’y suis réattelé car il est loin d’être épuisé. Le dirigeant communiste yougoslave Tito a étudié Clausewitz à Moscou, en 1934. Je recherche le matériel qui me permettra d’examiner l’influence de cette étude sur la guerre des partisans en Yougoslavie durant la dernière Guerre mondiale.

Propos recueillis par Manuel Abramowicz


© RésistanceS – web-journal de l'Observatoire belge de l'extrême droite – www.resistances.be – info@resistances.be – Article mis en ligne le 7 février 2009.

 

 


NOUVEAUX : 7 février 2009

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